Mercedes Nahel Pologne – Le chef de la police nationale française, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), a entendu le passager dans la voiture de Nahel le 3 juillet 2023. L’homme de 17 ans était le témoin le plus éminent de l’affaire, ayant fui les lieux après un policier a abattu le conducteur de la voiture, Nahel.
Son avocate, Me Karen Noblinski, a été invitée sur RTL Midi le 4 juillet 2023. L’occasion de faire la lumière sur le ressenti de son client et sa vision des événements. Dans un premier temps, la personne connue sous le nom de Fouad dans l’actualité a assuré aux enquêteurs que Nahel n’avait pas tenté de fuir les lieux. Cependant, après la fusillade, il n’est pas resté sur les lieux du drame. Sa recommandation clarifie ce départ comme une peur et un réflexe de survie.
Parlez-moi de ça sur le micro RTL ; mon client est encore très secoué par ce qui s’est passé. Lorsque son ami d’enfance a reçu une balle dans la poitrine, il était passager dans la voiture. Même maintenant, il est encore très secoué par ce qui s’est passé. Il aura des psychologues avec lui.Interrogée sur l’évasion, Me Karen Noblinski explique que son client “avait peur de mourir et de se suicider”. “Il a décidé de se réfugier chez sa mère, il n’est pas allé loin pour se cacher.
Il a quitté Nanterre quelques jours pour passer du temps avec la famille paternelle afin de pouvoir s’éloigner de la ville, mais il est revenu lundi matin sur convocation de l’IGPN pour témoigner. Me Karen Noblinski a conclu l’entretien en disant que son client envisageait de porter plainte “dans les prochains jours pour violences volontaires par personnes dépositaires de l’autorité publique”.
Décès de Nahel à Nanterre : cinq témoignages faux ou non vérifiés
L’IGPN a-t-elle “validé” le récit du policier selon lequel il aurait tué Nahel ? A-t-il menacé l’adolescent en lui disant : « Je vais te mettre une balle dans la tête » ? La voiture a-t-elle été vue récemment devant la caméra, faisant des embardées partout sur l’autoroute ? Le conducteur a-t-il redémarré la voiture de son propre gré ?
Le maigre sur les récits concurrents et les mensonges entourant le drame qui a déclenché des semaines de troubles. Le pays est toujours dans un état d’anxiété élevé une semaine après que Nahel, 17 ans, a été tué par un policier lors d’une route de routine Arrivée à Nanterre le 27 juin.
Plusieurs aspects de l’enquête font également débat, en plus des émeutes qui ont secoué toute la France. Il y a une large diffusion de fausses informations sur le drame. Vous faites valoir un argument valable.
Chronologie des événements
Deux policiers à moto à Nanterre, en France, ont repéré une Mercedes jaune avec une plaque d’immatriculation polonaise le 27 juin vers 7 h 55. La voiture roule avec une “allure vive” le long d’une voie de bus. Après avoir activé leur gyrophare, les policiers sont montés sur le toit du véhicule en mouvement, ont pointé un laser rouge sur le conducteur et lui ont ordonné de s’arrêter.
La voiture redémarre, attise les flammes et continue de rouler jusqu’à ce qu’elle heurte les buissons. Le procureur de la République affirme qu’à ce moment les deux agents descendent de leur véhicule et se placent à gauche du véhicule en marche en criant au chauffeur de s’arrêter.
Le passager de Nahel s’est exprimé sur l’interrogatoire dans une interview au “Parisien” après que Nahel a été tué lundi par une balle de la police à Nanterre. Ce lundi, l’IGPN a entendu le deuxième passager.Deux passagers ont été retrouvés dans la voiture du jeune prénommé Nahel, tué par un coup de feu de la police lundi à Nanterre (Hauts-de-Seine). L’un était à l’avant et avait fui les lieux, tandis que l’autre était à l’arrière et pouvait être entendu par les enquêteurs.
“Le Parisien” a retrouvé le témoin initial et s’est entretenu avec lui, et le témoin a raconté son récit des événements avant d’accepter de témoigner. Sa mère a engagé un avocat, Me Thomas Maer, et ils prévoient d’aller en cour lundi pour porter plainte au civil. La mort de l’ami d’enfance de Nahel, un homme de 17 ans, l’a laissé inconsolable.
Sa mère, qui enseigne à la maison ses cinq enfants, l’a vu rentrer à la maison ensanglanté et blessé. Elle raconte à un journaliste : “Je voulais aller directement à la police, mais entre la panique, le travail, et mes cinq enfants à gérer seule, c’était compliqué.”
Vers 7 h 55 ce mardi, deux patrouilleurs de la direction de la circulation et de la sécurité routière du territoire des Hauts-de-Seine ont aperçu une Mercedes jaune immatriculée en Pologne sur le boulevard Jacques-Germain Soufflot à Nanterre, juste après le quartier d’affaires de La La défense.
La police qui tente un contrôle aléatoire sur une ligne de bus est d’abord intriguée par “l’apparence vigoureuse” du véhicule et le “jeune âge apparent des passagers du conducteur”. Ils allument leur gyrophare, grimpent sur le véhicule en mouvement, pointent une flamme rouge sur le conducteur et lui ordonnent de s’arrêter.
La voiture redémarre, allume son moteur et roule avec deux policiers à bord jusqu’à ce qu’elle percute des barrières près de la gare RER Nanterre-Préfecture.Ils affirment avoir “tous deux sortis leurs armes et les ont pointées sur le chauffeur pour le dissuader de redémarrer en exigeant qu’il coupe le contact”.
Arrêtez le moteur ou je vous tue.
Ils sont arrivés tous d’un coup. Nahel a brisé la fenêtre, dit l’adolescent. Le motocycliste à proximité a crié : “Éteignez le moteur Le deuxième motard est entré par la fenêtre ouverte et a décroché un coup d’arbalète.
Il affirme que Nahel est « un peu choquée » et « paniquée ». Dès lors, le policier à proximité aurait “passé par la fenêtre” et “jeté une autre croix” au conducteur. Il dit : « Il a dit à Nahel : « Eteins le moteur ou je te tire dessus. L’autre conducteur de cyclomoteur avait crié quelque chose comme « Je vais te mettre une balle dans la tête ! avant que la voiture ne s’écrase.
Et parce qu’il avait sommeil, son pied a glissé de la pédale de frein. Tout comme une voiture automatique, elle a avancé sans aucune intervention du conducteur. L’officier le plus proche de la fenêtre a crié à son partenaire : “Tuez-le ! Quelques dizaines de mètres plus tard, la voiture est coincée dans du mobilier urbain. L’adolescent terrifié s’enfuit, laissant même son téléphone dans la voiture par “peur qu’on (il) prenne dessus”.
Sa mère poursuit dans les colonnes du journal, “Il n’était pas net, complètement affolé.” N’oubliez pas qu’il n’a que 17 ans. En conséquence, j’ai envoyé un ami sur les lieux, qui a confirmé qu’un accident s’était produit et que le personnel d’urgence avait tenté la RCR sur Nahel sans succès.
“Je dis aux gens qui sont sur le point de commettre un crime d’arrêter. J’espère qu’ils ne casseront aucune vitre et ne vandaliseront aucune école ou bus.” Nadia, la grand-mère de Nahel, a récemment été interviewée sur BFMTV et a exhorté les téléspectateurs à ce sont les mamans qui prennent le bus et les mamans qui marchent dehors.”
Mardi à Nanterre, un policier a abattu Nahel alors qu’il était au volant d’une Mercedes. Deux autres adolescents se tenaient à proximité. Les enquêteurs ont tenté, sur la base de leurs conclusions et des récits de témoins, de reconstituer ce qui s’était passé.
Qui sont les passagers, exactement ?
Le jeune de 17 ans assis à l’arrière était le plus jeune passager. L’amie d’enfance de Nahel, selon son avocat interrogé mardi sur BFMTV. Il s’est enfui pendant l’interrogatoire mais s’est rendu lundi à l’inspecteur général de la police nationale (IGPN, la “police des polices”), où il a été entendu. Il a également publié une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle il explique sa version de l’histoire.
Le père du second passager, qui était assis au fond de la cabine, a confié au Parisien que son fils a 14 ans. Cet individu prétend que son ami aîné Nahel l’a déposé aujourd’hui alors qu’il participait à des tests de brevets.Après que la voiture a percuté une barrière, la police a été appelée et le mineur a été gardé en garde jusqu’en fin d’après-midi.
Refuser d’être intimidé
Deux jours après le drame, le procureur de la République de Nanterre, Pascal Prache, a déclaré que des témoins avaient vu une Mercedes jaune avec une plaque d’immatriculation polonaise rouler. La route sur laquelle roulait la voiture était une voie de bus. Après avoir activé leur gyrophare, les policiers sont montés sur le toit du véhicule en mouvement, ont pointé un laser rouge sur le conducteur et lui ont ordonné de s’arrêter.