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Pere De Nahel
Pere De Nahel

Pere De Nahel – Interrogé sur les nombreux hommages rendus à son fils à travers la France ces derniers jours, il reste impassible : “ça ne sert à rien, ça ne me fera pas revenir, mon fils”. Il dit finalement : “Je ne pourrai jamais regagner ces années d’absence.” L’officier qui a abattu Nahel lors d’un contrôle routier de routine à Nanterre a été mis en examen pour meurtre.

L’une des parties civiles dans cette affaire sera le père de Nahel, tué par un policier lors d’un contrôle routier de routine à Nanterre. Il l’a annoncé le 5 juillet, lorsqu’il a brièvement évoqué sa relation avec son fils.

Hicham H., le père de Nahel, a décidé de se constituer partie civile dans l’affaire après que son fils a été assassiné par un policier à Nanterre (Hauts-de-Seine) il y a tout juste une semaine. Cet homme de 42 ans, qui s’est confié à l’AFP, a déclaré avoir été un père absent mais garder “l’espoir” de renouer avec son fils, décédé à l’âge de 17 ans.

Hicham H. avait perdu le contact avec Nahel en raison de ce qu’il a appelé un “chemin très difficile” qui l’a finalement conduit en prison. “J’ai fait des choix dans ma vie qui m’ont empêché d’être présent à sa naissance, et j’ai manqué de voir ses premiers pas et d’entendre ses premiers mots”, dit-il.

“J’arriverai encore plus fatigué que toi”

Il a entendu pour la première fois le 27 juin qu'”un jeune homme de dix-sept ans avait été contraint d’appuyer sur la gâchette à Nanterre”, mais ce n’est qu’en voyant la photo qu’il s’est rendu compte qu’il s’agissait en fait de Nahel. Le père du jeune homme avoue avoir du mal à s’endormir et se sentir “effondré”, en disant : “J’ai du mal à m’endormir”.

Après le décès de son enfant, le chauffeur devenu bibliothécaire a douloureusement réalisé qu’il ne serait jamais capable de “piéger” ces années perdues. Hicham H. dit que le policier responsable de la mort de Nahel avait “retracté tous [ses] espoirs”. Le policier a fait l’objet d’une enquête pour homicide volontaire et a fait l’objet d’un procès-verbal ; le père désemparé espère le voir “condamné, comme tout le monde” pour “avoir enlevant la vie d’un enfant”.

Les derniers mots de Nahel avant sa mort étaient : « Je veux m’asseoir sur le banc des victimes pour mon fils. Son père brise le silence.Et il interpelle ceux qui ont utilisé les réseaux sociaux pour usurper son identité. Hicham Hammouti, 42 ans, sort de son silence huit jours après la mort de son fils Nahel. Mercredi, le tétraplégique a rendu publique sa volonté de se constituer partie civile dans cette tragique affaire dans le cabinet parisien de son avocat, Me Serge Money.

Cet homme de 42 ans originaire de Colombes, une ville proche de Nanterre dans les Hauts-de-Seine en France, explique qu’il a rejoint le secteur civil “pour que justice soit faite pour Nahel et pour proclamer que je suis toujours vivant .” Lors d’un entretien avec son avocat, Me Serge Money, il a déclaré : “J’ai du mal à les avaler. Je dors plus maintenant.”

Lorsque Hicham H. est décédé, il était séparé de son fils, qui avait 17 ans. Il explique sombrement : “J’ai fait des choix dans ma vie qui m’ont empêché d’être présent à sa naissance, Hicham H. était chez lui dans le Val-de-Marne le 27 juin lorsque la nouvelle du décès de Nahel s’est répandue. Un ami m’a appelé pour me dire qu’un garçon de 17 ans s’était suicidé à Nanterre. Lorsqu’il a vu la photo et réalisé qu’il s’agissait de son fils, il a été “dévasté”. Ce chauffeur-livreur a affirmé qu’il avait des “espoirs” de se réconcilier avec son fils.

Hicham, le père de Nahel, a rompu son silence sur la mort de son fils le 27 juin à Nanterre lors d’un contrôle routier de routine par la police. Nahel avait 17 ans. Il parle d’avoir raté la vie de son fils, de ses regrets et de sa décision de rejoindre la société à l’âge adulte.
Il n’a jamais vraiment connu son fils, Nahel.

Depuis la mort de l’adolescent le 27 juin à Nanterre, Hicham, 41 ans, a perdu tout espoir. Il a parlé de son éducation troublée avec Nahel dans des entretiens avec la presse et a depuis décidé de rejoindre la société en tant que citoyen intègre.

Dites que je suis toujours en vie.

Selon South West, il a déclaré à l’AFP : “Je suis un civil parce que je veux que justice soit faite pour Nahel et je veux dire que je suis vivant”. J’ai pris des décisions tout au long de ma vie qui m’ont empêché d’être présent à sa naissance, ses premiers pas et ses premiers mots. Il confie au Parisien avoir été victime de nombreux mensonges et usurpations et espère que cette affaire lui offrira l’occasion de dire la vérité.

Quant à son absence de la présence de Nahel, il l’évoque pudiquement en parlant avec nos frères franciscains et accuse la mère de son fils. Alors qu’il était en prison en 2006, il raconte aux journalistes que sa femme est venue le voir dans le salon pour lui annoncer qu’ils divorçaient et qu’il ne reverrait plus jamais son fils. Hicham le résume ainsi : « Sa mère a tout fait pour que je ne devienne jamais père.

“Il a pris la vie d’un enfant”, nous dit-on.

S’il a un jour eu le moindre espoir de renouer avec ses anciens amis, celui-ci est mort lorsqu’un ami lui a annoncé qu’un adolescent avait été assassiné à Nanterre le 27 juin. Il apprend rapidement qu’il est bel et bien en train de parler à Nahel. Depuis, le sommeil l’a quittée. Hicham attend désormais que justice soit faite pour que “le policier qui a retiré tous mes espoirs soit condamné, comme tout le monde”. Il a pris la vie d’un enfant, et je veux une vraie justice.

Depuis le drame, il n’a fait aucune démonstration publique d’émotion. Le père de Nahel, Hicham H., a annoncé mercredi qu’il avait été nommé témoin civil dans l’affaire après que son fils a été tué par un policier à Nanterre la semaine précédente.

Cet homme de 42 ans, originaire de Colombes, une ville proche de Nanterre dans les Hauts-de-Seine en France, explique : “J’ai intégré la fonction publique pour que justice soit faite pour Nahel et pour que je puisse prouver que je suis toujours en vie.” Lors d’un entretien avec l’AFP au cabinet de son avocat, Me Serge Money, il a déclaré : “J’ai du mal à m’endormir. Je dors plus maintenant.”

Pere De Nahel

Lorsque Hicham H. est décédé, il était séparé de son fils, qui avait 17 ans. “J’ai fait des choix dans ma vie qui m’ont empêché d’assister à sa naissance, à ses premiers pas, et à ses premiers mots”, a-t-il sangloté à l’AFP,

Après avoir vu la photo, j’ai réalisé que c’était mon fils.

Hicham H. était chez lui dans le Val-de-Marne le 27 juin lorsque la nouvelle du décès de Nahel s’est répandue. J’ai reçu un coup de fil d’un ami qui m’a informé qu’un garçon de 17 ans avait été violé à Nanterre. J’ai été choqué quand j’ai réalisé que c’était son fils sur la photo, dit-il. Ce chauffeur de taxi a affirmé qu’il avait encore des “espoirs” de réparer les clôtures avec son fils.

Puisque le système judiciaire s’est bouché, je m’attends à ce que le policier qui m’a fait renoncer à tout espoir soit reconnu coupable avec le reste de la société. Hicham H. élabore : « Je veux une vraie justice ; il a pris la vie d’un enfant. Lorsqu’on lui demande ce qu’il pense de tous les hommages rendus à son fils à travers la France ces derniers jours, il reste impassible :

Hicham H. a annoncé mercredi qu’il s’était joint à l’affaire en tant que témoin civil, utilisant un ton émotionnel dans sa voix. La victime, âgée de 42 ans, a été identifiée comme étant le père de Nahel, tué par balle à Nanterre la semaine précédente. Cet homme de 42 ans originaire de Colombes, une ville proche de Nanterre dans les Hauts-de-Seine en France, explique qu’il a rejoint le secteur civil “pour que justice soit faite pour Nahel et pour proclamer que je suis toujours vivant .”

Lors d’un entretien avec l’AFP au cabinet de son avocat, Me Serge Money, il a déclaré : “J’ai du mal à m’endormir. Je dors plus maintenant.” Hicham H. ne s’est pas occupé de son fils, qui avait 17 ans lorsqu’il est décédé. À cause des décisions qu’il a prises, il a manqué de voir les premiers pas de sa fille et d’entendre ses premiers mots. Il poursuit en décrivant le “parcours très difficile” qui a conduit à son incarcération.

Hicham H. était chez lui dans le Val-de-Marne le 27 juin lorsque la nouvelle du décès de Nahel s’est répandue. Un ami m’a appelé pour me dire qu’un garçon de 17 ans s’était suicidé à Nanterre. Lorsqu’il a vu la photo et réalisé qu’il s’agissait de son fils, il a été “dévasté”.

Ce chauffeur de taxi affirmait avoir des “espoirs” de réconciliation avec son fils. Maintenant que le système judiciaire est bouché, je m’attends à ce que le policier qui m’a fait renoncer à tout espoir soit reconnu coupable avec le reste de la société.

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