Guillaume Farde Epouse – Le niveau d’activité est en constante augmentation. Habituellement, une fois que j’ai déposé les enfants à l’école, je fais quelques travaux dans la maison avant de me coucher pour la nuit. C’est une question d’horaire. Sinon, je me dirigerai vers la salle de montage. Je passe habituellement sur BFMTV à 14h30 le soir, mais je viens toujours préparé, ayant déjà interviewé des médecins et noté quelques points clés et points de discussion.
Récemment, il y avait un programme spécial de fin de soirée, alors je suis resté debout jusqu’à minuit, je suis parti à trente heures trente, j’ai pris une douche, j’ai regardé mon téléphone et je me suis couché à une heure quarante-cinq. A 7h30, le réveil sonne…
Même à cette heure tardive, il parvient à faire reculer tout le monde plus loin. Quand j’ai un week-end de congé, j’en profite au maximum. Tout en luttant contre l’épuisement extrême, j’essaie de profiter de mon temps avec mes enfants. En tout cas, compte tenu de la façon dont nos vies sociales se sont gelées récemment.
Que faites-vous pendant le week-end pour changer d’avis ?
M. de F. : Nous promenons assez souvent les enfants. Nous avons dû les emmener à leur leçon de tennis tôt le samedi matin. Nous cuisinons des repas, lisons et discutons de livres ensemble. Je leur lis des livres et je les enregistre pour qu’ils puissent m’écouter même si je ne suis pas à la maison le soir car ils ont cet incroyable appareil qui s’appelle La Fabrique à Histoires.
Comment décrire le coronavirus aux enfants ?
Ils ne m’ont pas posé autant de questions depuis la rentrée. Quelqu’un au printemps ne pourrait pas de sa vie dire “coronavirus” (rires). Enfin, la question du Covid-19 est évoquée, et des mesures de limitation peuvent être justifiées. Ils sont trop petits pour porter un masque, mais il y a toujours de l’eau et du savon.
Nous le faisons très soigneusement et le chronométrons pendant 20 secondes car il est efficace contre toutes les maladies respiratoires et ils sont tout le temps malades. S’il y a un côté positif à trouver dans toutes ces contraintes, ce serait ça… Surtout quand on sait combien ils en mettent encore dans la bouche à leur âge.
Comment s’est passé votre emprisonnement ?
M. de F. : Je les ai retirés de l’école une semaine avant le début de leur incarcération. Ils étaient ravis de voir les efforts de leur père récompensés. Parfois, il était au bureau, mais en tant que directeur général d’une entreprise de commerce électronique, il passait la plupart de son temps à travailler à domicile.
Toute la journée, ils sont restés à l’intérieur et ont joué à des jeux vidéo. Même lorsqu’ils ne pouvaient pas être à Paris avec leurs amis, le programme scénique rigoureux de leur père les a aidés à apprendre à faire du vélo. Les priorités de nombreuses personnes ont changé en conséquence directe du temps passé derrière les barreaux.
C’est fantastique que nous ayons pu partager autant d’expériences inoubliables. Il semblait étrange de traverser la vie à pas de tortue, comme si le temps s’était arrêté. C’est un point lumineux, bien sûr.
J’ai déjà effectué trois tests PCR.
Vous avez maintenu un statut de premier plan tout au long de votre grossesse. Heureusement, les êtres humains sont capables de perdre la mémoire à court terme. Malgré cela, j’ai passé un été fantastique, et ça m’a rechargé. Ce mélange de rêve était incroyable. Nous avons profité au maximum du revirement.
Les heures de travail sont restées les mêmes depuis le début du semestre, mais mon emploi du temps personnel est devenu plus chargé. Tout le monde est resté en pyjama et a regardé la télévision jusqu’à 22 heures pendant toute la durée de l’emprisonnement. Il est temps de leur dire “habille-toi” et de les envoyer en classe. C’est un fardeau supplémentaire à porter.
Une deuxième année tout aussi réussie que la première. Ce jour-là, une soixantaine d’étudiants du programme « Sécurité Défense » de l’École d’Affaires Publiques de Sciences-Po font leur rentrée. Le général Benoît Puga, qui a été directeur de cabinet du président de la République de 2010 à 2016, et Patrick Calvar, qui a dirigé le département de la sécurité intérieure de 2014 à 2017, ont tous deux donné des cours aux élèves l’année scolaire précédente. Cette année, les rênes sont reprises par les légendes de la police et de la gendarmerie Frédéric Péchenard et Denis Favier.
Selon Guillaume Farde, expert en sécurité et responsable stratégie et communication du cabinet de conseil en sécurité Risk&Co, expert « sécurité et défense », le cours de Péchenard « portera sur les questions de sécurité en mettant l’accent sur les enjeux de police judiciaire, nos étudiants ayant souvent une culture très administrative », tandis que le cours de Favier sera « centré sur une simulation…
Dans le sillage de la crise sanitaire du Covid-19, la responsable du service Santé de BFMTV, Margaux de Frouville, s’est imposée comme l’objet d’un entretien approfondi. Elle se confie à Femme Actuelle sur son combat contre le VIH, ses aspirations professionnelles et sa vie de famille. Margaux de Frouville, 34 ans, est en charge de la couverture santé de BFMTV.
Depuis le début de la crise sanitaire du coronavirus, le journaliste est devenu un visage familier du paysage médiatique français. Désormais, alors que la deuxième vague de Covid-19 se propage dans l’Hexagone, elle compte bien continuer à informer son public dans un cadre unique. Instruction, lutte contre les fausses nouvelles, explications du code de la santé et autres actions gouvernementales…
Bien que “fatiguée” de jongler entre vie professionnelle et vie personnelle, Margaux de Frouville aborde la deuxième partie de la crise avec zèle et détermination journalistiques pour le bien de ses deux enfants, Maxence et Timothée. A quelques jours du début des vacances de la Toussaint et la veille de l’interview télévisée du président Macron, elle accorde une interview à Femme Actuelle. Anarchie, professionnalisme et vie personnelle… L’employée du service de santé de BFMTV se libère.
Femmes professionnelles, quel a été votre parcours ?
J’ai étudié le droit pendant cinq ans et obtenu un Master of Laws (L.L.M.) en droit de la propriété intellectuelle à l’Université Paris II Panthéon-Assas, mais j’ai toujours su que je ne voulais pas être Margaux de Frouville. Tout en préparant mon DEA, j’ai passé les concours d’entrée aux écoles de journalisme puis j’ai passé deux ans comme spécialiste “Télé” au CFJ de Paris. Comme disent les français, “j’ai adoré !”
Comment a débuté votre carrière chez BFMTV ?
M. de F. : J’ai fait du reportage généraliste, du reportage politique, présenté le journal du soir pendant un an, fait du reportage d’investigation. Je suis entré dans le domaine de la santé en 2014. Avant cette année, j’étais un contributeur de contenu en ligne parce que j’aime beaucoup écrire.
En 2020, j’ai encore fait une tonne de reportages pour l’émission Grand Angle, ainsi que plusieurs plateaux, duplex et longs formats. Cependant, je n’ai pas signalé depuis le 13 mars. Ma dernière expérience s’est déroulée au service de réanimation de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
C’est mémorable parce qu’ils étaient si heureux de montrer l’aile nouvellement réorganisée qui leur permettrait de traiter plus de patients nécessitant une réanimation. Le lendemain, mardi, tout était emballé, et ils ont fermé l’accès aux plateaux à cause du Covid-19.
Je suis très fier de mon domaine d’expertise, les soins de santé, qui couvre un large éventail de sujets fascinants. Ce que j’aime dans cette chaîne, c’est que j’en fais partie depuis une décennie et je ne m’ennuie toujours pas. J’ai eu mille vies en dix, et chaque entraînement a complété les autres.
Comment l’épidémie de coronavirus de cette année vous a-t-elle affecté ?
M. de F. : La férocité du beat, sans équivoque. Le 24 janvier, le premier cas du nouveau système est entré en vigueur. Au milieu du travail, les enfants qui n’étaient pas retournés à l’école depuis six mois… Avant, je pouvais dormir jusqu’à 8h30, mais maintenant je suis épuisé à midi. J’y suis habitué maintenant (tousse).
Le service de santé a-t-il été renforcé pendant la crise ?
M. de F. : J’ai la chance d’avoir une bonne protection au Service de Santé. Il s’est considérablement renforcé. Nous avons une équipe à temps plein de quatre journalistes au CDI et une équipe à temps partiel de cinq. Nous avons aussi deux médecins qui travaillent pour l’arachide, le Pr Christophe Rapp et le Cardiologue et Consultant Chaîne Santé le Docteur Alain Ducardonnet.
Veuillez décrire une journée type depuis que vous avez pris la direction du service Santé…
Timothée et Maxence sont mes fils de cinq et trois ans et demi, même si tout le monde les appelle Tim et Max. Je ne peux pas les voir le soir, mais mon mari peut faire plus si je le demande, alors j’essaie de garder espoir. Je fais beaucoup de travail à Entre le politique, le sanitaire et les réponses gouvernementales.