Qui Est Le Mari De Pauline Simonet – Pauline Simonet a voyagé dans de nombreux pays tout au long de sa carrière de journaliste. Cependant, dans une entrevue avec « L’Echo des Amériques », elle a révélé que son travail avait modifié son regard sur le monde. Le fait qu’elle se soit rendue au Rwanda pour un reportage est particulièrement pertinent ici.
Parfois c’était difficile, mais par empathie, j’ai voulu écouter. Il y a des faits divers où tout le monde n’est pas d’accord avec les conclusions tirées. J’ai dû faire des entretiens avec des extrémistes d’extrême droite et des racistes, et ça a changé ma façon de voir le monde et la façon dont je perçois les autres. On s’arrête un moment pour essayer de comprendre les gens qui voient le monde très différemment de nous.
Burundi. La rumeur veut qu’un journaliste de France 24 sera la cible d’un mandat d’arrêt international pour terrorisme après une réunion des responsables de la sécurité des Grands-Lacs. Mme.
Pauline SIMONET, journaliste européenne d’origine rwandaise qui travaille actuellement pour la chaîne de télévision française France 24, est soupçonnée de soutenir et d’être au courant d’un complot visant à déstabiliser la région par des mouvements terroristes “obscurs”. Tout cela découle des images qu’il a tournées d’elle avec un munyamulenge en RDC Congo (au Kivu) il y a quelques semaines, proclamant la formation d’un nouveau groupe rebelle.
Mme. Pauline Simonet s’était rendue dans l’Est de la RDC Congo pour rencontrer un rebelle munyamulenge. Elle a dit que le leader burundais « Général Mose » du FRONABU-Tabara était à l’origine de la menace qui pèse sur son pays.
Les services secrets de la région avaient été compromis en raison de la dénonciation du rebelle et de la proximité du journaliste avec lui dans les Grands-Lacs. Selon un congolais ayant accès à l’information, “l’ère des loisirs sur le sol congolais a été révolutionnée car les jeux se jouent désormais avec de vraies vies humaines”.
En 2011), France 24 a diffusé Mme. Reportage “très haineux” de Simonet sur le Burundi, pays voisin de la République Démocratique du Congo. Lorsqu’elle a publié son travail pour la première fois, les autorités burundaises ont exigé des explications de la journaliste.
Cependant, elle a été si impolie qu’elle n’a pas répondu. Cette rediffusion du rapport a rencontré une large désapprobation à Bujumbura car elle ternit la réputation du pays sans frais, tout comme le Burundi tente d’attirer les investisseurs étrangers alors que son économie croît de près de 40% grâce à la planche à billets encouragée.
Les autorités burundaises soupçonneraient un stratagème français. L’ambassadeur de France au Burundi, en difficulté, a déclaré : « Le reportage de Pauline Simonet sur le Burundi est une bavure » sur un site Internet burundais (nyabusorongo.org). En ce moment même, un journaliste burundais de Radio France International (RFI), M.
Hassan Ruvukaki a été reconnu coupable d’accusations de terrorisme pour son implication dans une insurrection basée en Tanzanie qui vise à renverser le gouvernement de Bujumbura.Les dirigeants politiques de la région affirment que leurs pays ont du mal à se remettre des effets de l’instabilité économique occidentale, qui conduit inévitablement à des bains de sang en Afrique.
Au cours de la conversation, elle a partagé son parcours de journaliste et ses réflexions sur l’actualité. Mme. Simonet était franc, énergique et articulé pendant notre conversation. Après avoir échangé des questions et des réponses, une atmosphère de confiance s’est développée et nous avons pu avoir une conversation détendue.
Confidentiellement, Mme Simonet dit qu’elle s’est lancée dans le journalisme parce qu’elle voulait connaître et découvrir la vérité. Son inspiration est venue de voir l’éruption du mont Nyiragongo au Congo, où elle était la seule journaliste française présente.
Le reportage est un métier difficile.
Tout journaliste compétent ferait preuve d’ouverture d’esprit et d’objectivité dans une situation donnée. Pauline Simonet, pleine de curiosité acharnée, parcourt le globe pour savoir ce qui pousse certains à l’extrême droite ou à des convictions contraires à la norme. Lorsqu’il fonctionne correctement, le filtre garantit que seul le recul résultant se produit, en gardant les émotions sous contrôle.
Grâce à cette approche, elle a pu écouter et interviewer en profondeur le responsable de la mort de plusieurs membres de sa famille dans le génocide rwandais. Cette interview est l’une des plus formatrices de sa carrière de journaliste puisque, par déduction, elle s’est rendu compte qu’elle était assise en face du tueur de famille. Dans ce bref instant, elle a pu obtenir des réponses aux questions qu’elle évitait de poser à sa mère et aux autres membres de sa famille touchée par le génocide.
Alors qu’elle travaillait comme correspondante pour RFI au Rwanda en 2002, Mme. Simonet a rapporté les expériences de femmes noires d’Afrique qui avaient fui vers l’Europe. De nombreuses femmes peuvent s’identifier à ces expériences, mais elles reçoivent rarement l’attention des médias.
Le journalisme est censé éduquer ses lecteurs sur les événements mondiaux et les forcer à affronter leurs propres préjugés et leur manque de connaissances. Rien ne se passe tant que nous ne sommes pas disposés à éprouver de l’inconfort et à sortir de notre routine habituelle.
Madame Simonet nous a dit lors de l’entretien que son métier a changé sa façon de voir le monde. Parfois c’était difficile, mais par empathie, j’ai voulu écouter. Il y a des faits divers où tout le monde n’est pas d’accord avec les conclusions tirées. J’ai dû faire des entretiens avec des extrémistes d’extrême droite et des racistes, et cela a changé ma façon de voir le monde et la façon dont je perçois les autres.
Nous nous arrêtons un moment pour essayer de comprendre ceux dont la vision du monde est si radicalement différente de la nôtre. Pour faire un bon travail de reportage et d’information du public en tant que journaliste, nous croyons qu’un esprit ouvert est essentiel.
La disparition de la petite presse. Nous vivons actuellement une crise démocratique et, par ricochet, une perte de la liberté d’expression due à l’interdiction des rassemblements de plus de dix personnes. Il faut donc appeler à la vigilance afin de protéger la presse.
Ce dernier est indispensable pour couvrir la crise et sauvegarder la démocratie. Ceci est une sirène d’alarme. Cette pandémie pourrait faire reculer la démocratie partout, mais surtout dans des endroits comme l’Afrique où elle est déjà menacée. Les journalistes sont les sonneurs d’alarme qui doivent nous dire la vérité sur le désir de démocratie de l’Afrique. Ils cherchent un moyen d’exercer leurs droits au premier amendement.
L’une des pires choses en politique est la corruption. Parfois, elle vient avec des conflits raciaux et économiques. Tout le monde au Rwanda a contribué au génocide de 1994. Ce quatrième pouvoir a un poids sérieux. Il nous rappelle notre devoir civique et nous tient informés sur un large éventail de
Mettez-nous la charge de la vigilance !
Pauline Simonet, jeune et talentueuse, est l’une des journalistes françaises les plus en vue de ces dernières années. Elle a fait preuve d’une compétence et d’une énergie exceptionnelles, ce qui a mené à des collaborations avec une grande variété de réseaux de télévision. Cependant, le journaliste maintient la confidentialité. Découvrons le parcours professionnel de Pauline Simonet.
Quels parallèles voyez-vous dans le parcours professionnel de Pauline Simonet ?
La carrière de Pauline Simonet illustre jusqu’où un journaliste peut aller et être toujours considéré comme ayant réussi. Elle a fréquenté l’École supérieure de journalisme de Lille et travaille aujourd’hui comme correspondante internationale pour divers médias français. Elle s’est rapidement fait connaître grâce à son travail exceptionnel, et elle a finalement été reconnue pour sa couverture d’événements mondiaux et ses reportages d’investigation.
Pauline Simonet a travaillé pour des médias prestigieux dont France 24 et RFI au cours de sa carrière, lui conférant une riche expérience professionnelle. Elle a rendu compte d’un large éventail d’actualités mondiales, des manifestations iraniennes aux élections présidentielles américaines.
Pauline Simonet travaille toujours dur à BFMTV après toutes ces années. Elle est largement considérée comme l’une des jeunes journalistes les plus douées d’aujourd’hui. Pauline Simonet est une journaliste dévouée qui ne reculera devant rien pour découvrir la vérité.
La journaliste Pauline Simonet aime manifestement beaucoup son travail. La jeune femme a confié en entrevue à “L’Echo des Amériques” avoir choisi le journalisme parce qu’elle voulait trouver et apprendre la vérité. Elle a expliqué que son événement déclencheur s’est produit alors qu’elle était la seule journaliste française à couvrir l’éruption du volcan Nyiragongo au Congo.