Patricia Dagorn Jeune – L’enquête a été classée sans suite le 14 octobre 2011, faute de preuves.nL’histoire s’est peut-être arrêtée là, mais un an plus tard, à 500 kilomètres de Nice dans les Alpes, le nom de Patricia Dagorn resurgira lorsque Robert Mazereau, âgé 87 ans, est retrouvé par sa fille, à l’agonie. Le vieil homme a été empoisonné, comme le montrera une analyse de sang.
Étonnamment, lui et Patricia Dagorn se fréquentent depuis un moment maintenant. nBien que Patricia Dagorn, qui sera bientôt connue comme “l’empoisonneuse de la riviera”, ait été condamnée à cinq ans de prison le 23 avril 2013, elle n’a pas encore livré tous ses secrets.nnLe scandale d’Annie Toinon :
Le meurtrier est-il un proche parent ? nLe 15 juillet 2010, la petite ville de Saint-Galmier dans la région de Saint-Étienne a été secouée par la nouvelle qu’un crime horrible avait eu lieu à la ferme de La Veillère à l’entrée de la ville.
Annie Toinon, 56 ans, mère de quatre enfants, a été brutalement tuée avec une barre d’acier. L’assassin l’a pris au dépourvu alors qu’il dormait tôt un matin alors que la maison était déserte. Le père d’Annie, Bernard, avait déjà commencé à travailler dans ses champs, et son fils Johan était parti pour l’aider.
Annie n’était pas laissée à elle-même ; avant même qu’elle ait pu prendre une gorgée de sa boisson, elle a été battue et la police a trouvé une touffe de cheveux blonds dans sa main droite – peut-être celle de l’agresseur. Il n’y a aucune trace d’effraction ou de cambriolage dans la grande maison où la porte d’entrée n’est jamais verrouillée.
Seul le sac à main d’Annie, contenant le décompte des ventes du jour au lendemain, a disparu. Avons-nous ici un cas de vol ? Le vol seul explique-t-il ce crime ? Peu à peu, les frontières linguistiques dans le village s’estompent. Johan et Aurélien, deux des enfants d’Annie, sont doigtés.
Lorsque la police enquête sur le couple violent, elle va découvrir un horrible secret de famille : l’adoption tumultueuse des quatre enfants du couple. Annie et son mari Bernard n’ont pas pu fonder leur propre famille, ils ont donc adopté un groupe de frères et sœurs de Pologne. Mais une autre piste émerge,
car il est possible que les deux fils d’Annie ne soient pas les seuls à avoir eu des problèmes avec la victime. nnNe relâchez pas s’il vous reste moins de 10 ans à vivre.Ce jour-là, le 15 janvier, à Nice, s’ouvre le procès de la femme surnommée “la veuve noire” par une série d’audiences assises. La mort de deux hommes sur la Côte d’Azur a été liée à Patricia Dagorn.
La femelle veuve noire araignée est très venimeuse en raison de son habitude de se régaler de son compagnon peu de temps après l’accouplement. Patricia Dagorn, âgée de 57 ans, a reçu ce nom de famille.Lundi à Nice, son procès a débuté. Elle a été accusée d’être une braconnière de veau en série qui s’est rendue sur la Côte d’Azur pour venger la mort de deux de ses veaux de boucherie.La jeune femme “à la gueule d’ange et aux formes généreuses” est introuvable dans la cellule des accusés.
Patricia Dagorn apparaît avec les traits tirés et vexés d’une coureuse atone et mal habillée. Elle est née dans la capitale française et a grandi dans le Finistère jusqu’à ce qu’elle quitte très jeune sa maison pour se débrouiller seule dans sa ville natale. Elle y rencontre son futur mari, Luc, et s’installe avec lui dans le Gers. Les circonstances entourant les soupçons de son demi-frère d’avoir assassiné leur mère en 1991 afin de tirer profit d’une police d’assurance-vie d’un million de francs n’ont jamais fait l’objet d’une enquête.
Patricia Dagorn est soupçonnée d’être une tueuse en série qui s’en prend aux riches de la Côte d’Azur ; Lundi, elle a été interpellée à Nice pour tentative de meurtre ou de drogue sur quatre hommes, dont deux (un ancien artisan du BTP et un membre du SDF) ont été retrouvés morts. Elle est accusée d’être une braconnière de veau en série qui s’est rendue sur la Côte d’Azur et en a abattu au moins deux. Au premier jour de son procès, une enquêteuse célèbre a sali Patricia Dagorn d’un portrait peu flatteur, dénoncé par la défense.
Patricia Dagorn, 57 ans, a été extraite de sa cellule de la maison d’arrêt de Nice lundi, mais sa libération a été retardée en raison d’un mouvement de protestation des surveillants pénitentiaires. Elle est apparue dans la boîte flottante des accusés portant un pardessus rouge et noir trop grand pour elle, lui donnant une apparence qui ne ressemblait en rien à la jolie blonde qui s’était inscrite à un service de jumelage sept ans plus tôt.
L’accusé a été comparé à celui qui a empoisonné Franceso Filippone, un ancien artisan du BTP de 85 ans retrouvé mort en 2011 à Mouans-Sartoux, et Michel Kneffel, un agent du SDF de 65 ans rencontré lors de sa arrivée sur la Côte d’Azur en 2010.
également accusé d’avoir drogué deux personnes
Patricia Dagorn, qui nie toutes les allégations portées contre elle, est accusée d’avoir tenté de droguer une niçoise à la retraite nommée Ange Pisciotta lors d’une soirée fin 2011 et un vieillard frêle de Fréjus nommé Robert Vaux, qui vivait confortablement à la retraite après le décès de sa femme mais se sentait seul parce qu’il l’avait accueillie comme pensionnaire début 2012.
C’était comme un rayon de soleil en plein hiver. Robert Vaux a dit un jour à la presse : “Quand tu es avec une femme plus jeune, tu sais que ça ne va pas durer, mais tu n’es pas maso, donc tu ne veux pas te priver d’un bon moment.”
Au cours d’une semaine particulièrement difficile pour moi, elle a écrit deux lettres et envoyé un fax à mon notaire exigeant la possession de mes biens. “Même le chimiste m’a prévenu, “Robert, tu es en danger; tu pourrais écrire un roman noir !” » a-t-il poursuivi.
Le “Cygne Noir de la Côte d’Azur” met en danger sa propre pérennité.
Les enquêteurs ne doutent pas que Patricia Dagorn, qui a rencontré au moins vingt personnes par le biais d’annonces personnelles, a agi uniquement pour un gain financier et comploté pour hériter de leurs biens. La “Veuve noire de la Côte d’Azur” ou “L’Empoisonneuse”, surnommée par les médias, qui a été reconnue coupable d’un crime similaire et condamnée à cinq ans de prison en Haute-Savoie, risque désormais une peine d’emprisonnement à perpétuité.
Un enquêteur de personnalités a témoigné devant le tribunal des ânes des Alpes-Maritimes, dressant le portrait d’une femme sans scrupules ni remords et enflammant les foudres de la défense enCette dernière, grâce au témoignage de MM. Georges Rimondi et Cédric Huissoud, remet en cause l’image largement répandue d’une mère négligente et égocentrique qui reconstitue, à l’âge adulte, l’abandon auquel elle a été soumise lorsqu’elle a été placée chez un famille d’accueil à l’âge de six ans.
Son ex-femme a été condamnée pour violence conjugale.
Interrogée par les deux avocats, la détective privée a admis que Patricia Dagorn semblait toujours sous le contrôle de son ex-mari de 71 ans, Luc Caron, avec qui elle a eu deux fils et a ouvert une clinique psychique dans les années 1980. Le couple s’est rencontré alors que Patricia était à l’école.
Condamné pour violence conjugale et espionnage, Luc Caron était assis dans le public. Le tribunal a enquêté sur les circonstances dans lesquelles les ex se sont mariés : après le procès de Patricia Dagorn pour l’implication présumée de Luc Caron dans une agression brutale, elle et Luc ont comparu ensemble sur le banc du tribunal civil un an plus tard.
De façon inattendue, Luc Caron est convoqué à la barre des témoins. Le but de cette enquête est d’en savoir plus sur une indemnité d’assurance-vie d’un million de francs que les parents de l’accusé ont reçue après le décès de la mère de l’accusé au début des années 1990. Il prétend que le compte conjoint a été débité pour l’opération de chèques.
Son ex-femme a témoigné en cour qu’il avait été trompé par Luc Caron. Les médias l’ont surnommé « Le violeur de la Sambre ». Depuis 30 ans, toute une région du nord du pays frémit à la simple évocation de ce prédateur qui s’attaque à la France et parfois même à la Belgique.couteau. Toutes ses politiques pendant de nombreuses années ont échoué jusqu’en février de cette année.
Dino Scala, l’auteur de la dernière tentative d’agression, a été formellement identifié. Les enquêteurs tombent alors sur un homme au profil particulier : un suspect aux deux personnalités différentes. D’une part, c’est un père de famille aimé et respecté de tous. Très tôt, il est devenu un homme violent et implacable.
Sexe, poison et or : l’affaire Patricia DagornLe 23 juillet 2011, le corps du retraité Michel Knefel est découvert gisant sur le sol d’un petit hôtel niçois, la tête dans une mare de sang. L’homme a été assassiné. Le sang du vieil homme montrera des signes de somnifères, selon les résultats de l’autopsie. Son amie Patricia Dagorn sera bientôt au centre du collimateur des enquêteurs. Elle ne partage une maison avec lui que depuis un mois, mais pour une raison quelconque, elle a déjà accès à tous ses comptes bancaires.