Enfant Abandon Rennes – Les médecins et les organismes de services sociaux d’aujourd’hui accordent une grande importance à la santé et au bonheur des enfants. Et pour cause : reconnaître la maltraitance lorsqu’on croise la route d’un mineur n’est pas toujours facile. Ainsi, l’opinion publique a récemment pris conscience d’un événement tragique.
Les autorités rennaises ont incarcéré un adolescent de 14 ans. Ils ont affirmé que l’adolescent était anormalement mince et menait une vie isolée. La maman de Stéphanie est désormais sans protection. Mais elle ne prend pas les accusations en l’air. Afin de se défendre, elle a accepté de se présenter sur la scène de TPMP et de répondre aux questions de Cyril Hanouna et de son équipe.
Jeunes décrocheurs ou programmes d’éducation alternative ?
Sur le hub de C8, tout le monde était curieux du parcours et du parcours de cette maman. Stéphanie a donc dévoilé ses origines lilloises. Mais elle a passé la majeure partie de sa vie en région parisienne. Elle a passé plusieurs années à travailler dans la publicité et les relations publiques après avoir été diplômée d’une école de commerce. Mais maintenant, elle se décrit principalement comme une artiste, travaillant dans la vidéo, la musique, la peinture et la sculpture. L’histoire d’un adolescent reclus est totalement fausse, dit-elle maintenant.
Elle a eu son bébé aux Philippines en 2008. De retour en France, elle a tout de suite enregistré le bébé. Selon le droit civil, cet individu n’a pas de père. Elle a décidé de quitter son appartement de deux chambres à Paris et de s’installer à Rennes avec son petit ami en 2018. Elle nie avoir jamais sciemment mis son enfant dans une maison sale. Alors que Gilles Verdez décrit la version officielle des événements – un jeune adolescent isolé du monde extérieur -, elle réfute avec véhémence ces affirmations.
Selon Stéphanie, les médias ont exagéré cet incident. Si elle admet ne pas avoir envoyé son enfant à l’école, elle lui a peut-être fourni un enseignement à domicile légal. Un jeune homme partirait toujours à l’aventure même s’il n’avait jamais mis les pieds dans une école. Elle parle de toutes les sorties culturelles et récréatives amusantes qu’elle a planifiées pour lui et ses nombreux compagnons de plein air. La mère s’appuie également sur de nombreux témoignages qui démentent un adolescent renfermé et sans voix.
Les services sociaux choisissent d’enfermer le garçon plutôt que de l’aider.
En juillet 2022, tout a commencé lorsque Stéphanie a emmené son enfant aux urgences pour le traitement d’un choc anaphylactique. Consciente que son état s’améliorait, elle décida de quitter l’hôpital avec lui. Cependant, elle a été rapidement dénoncée par un médecin qu’elle décrit comme “très nerveux”. Il les a suppliés de garder l’enfant sous surveillance puisqu’il s’inquiétait pour lui. À 14 ans, l’enfant ne pesait que 25 kilogrammes, comme documenté dans le rapport médical.
C’est environ la moitié de ce qu’un jeune de cet âge devrait peser. Stéphanie est convoquée le lendemain au commissariat et comparaît dans l’après-midi devant le juge de la jeunesse. Le tribunal a donc conclu que l’adolescente ostensiblement recluse semblait angoissée et atteinte d’un retard mental important. Maître Emmanuel Ludot, l’avocat de la mère, tient à clarifier la situation.
Il affirme qu’en juillet de l’année dernière, le fils de Stéphanie pesait 33 kilogrammes pour sa taille de 1,47 mètre. Il a donc demandé au juge un placement à domicile où les enseignants viendraient tous les jours et où le garçon serait tenu d’aller à l’école. Cependant, le juge des enfants s’est appuyé sur des rapports médicaux et sociaux pour ordonner un placement de 9 mois à domicile. Quelque chose qu’elle a décidé en février et prolongé de 18 mois supplémentaires.
Le procès de Stéphanie D. doit débuter en octobre à Rennes. Elle a été accusée par sa famille d’avoir maltraité son fils de 14 ans.Le gouffre entre ce que le tribunal oppose à Stéphanie D. et ce que ses soutiens et sa famille dépeignent de la mère de famille de 48 ans ne cesse de se creuser. Depuis juillet 2022, elle fait l’objet d’une enquête préliminaire sur des allégations de « soustraction par un parent à ses obligations légales mettant en danger la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant » et de « refus de soins ou de nourriture ».
Stéphanie D. sera jugée par un tribunal de Rennes le 5 octobre sur cette affaire. Entre-temps, elle a été séparée de son fils de 14 ans, qui a peut-être été victime de mauvais traitements. Stéphanie D. a été vivement critiquée dans le Figaro il y a une semaine pour avoir expliqué qu’elle n’avait jamais envoyé son enfant à l’école, optant plutôt pour une éducation “libérale” à la maison, dans les musées et les bibliothèques. La santé “dégradée” de son fils est également mise en lumière par le parquet rennais ; il pèse “27 kilos” pour 1,47 mètre. L’adolescent n’a pas d’autre moyen de…
Chaque fois qu’il avait faim, il mangeait. Cyril Hanouna, mère de 14 ans reclus, insiste et fait signe que son enfant n’est pas victime de maltraitance. Alors que le fils de Stéphanie est hébergé dans une famille d’accueil, elle a été placée en garde à vue et fait l’objet d’un contrôle judiciaire. Pendant ce temps, elle a été interrogée sur le poids de son fils sur le plateau Touche pas à mon poste.
Son fils, confié aux services sociaux, ne pesait que 25 kilogrammes, le poids moyen d’un enfant de 3 à 8 ans à l’époque. Ce qui ne semble pas déranger Stéphanique, c’est qu’il n’était que « fin avec un physique harmonieux », et qu’il avait toujours assez à manger. Il n’a pas de jouets effrayants.
Cette maman de C8 profite de la situation pour exprimer sa frustration que les médias aient “exagéré” la situation. Même si elle n’a pas envoyé son enfant à l’école, elle lui a peut-être appris quelque chose à la maison. Même si le jeune homme ne va pas à l’école, elle promet qu’il vivra encore plein d’aventures. Stéphanie se souvient des “nombreuses sorties culturelles et ludiques qu’elle organisait avec lui” et des “amis avec qui il était dehors”.
Ce jour-là, le 23 mai 2023, C8 a livré un tout nouveau numéro de Touche pas dans ma boîte aux lettres. Cyril Hanouna a reçu la nièce d’Alain Delon la nuit précédant la mort tragique du fils illégitime de l’acteur, Ari Boulogne. La compagne d’Ari, qui fait l’objet d’une enquête pour « homicide involontaire », a fait l’objet de révélations dommageables de cette source.
L’animateur de l’émission était revenu sur l’histoire du rennais de 14 ans, caché du monde depuis sa naissance mardi soir. Les services aux personnes en difficulté sociale l’ont pris en charge alors qu’il ne pesait que 25 kilogrammes, soit l’équivalent d’un enfant de 3 à 8 ans.
La mère nie les mauvais traitements infligés à son enfant.
Stéphanie a présenté sa version de l’histoire sur la scène de TPMP après avoir été placée en garde à vue et assignée à résidence pendant que son enfant reste chez des parents adoptifs. Lorsqu’on lui a demandé combien pesait son fils, elle a répondu: “Il vient de terminer avec un corps équilibré.” Et enfin, “il a toujours eu assez à manger quand il a faim” et “il n’a pas de jouets minables”.et ils veulent la remettre en forme de force”, a-t-il déclaré au trublion du PAF.
Les internautes n’y croient tout simplement pas.
Contrairement au scepticisme des grands médias, les internautes n’ont pas été convaincus par les explications de la mère après avoir été mise sur la sellette.Pendant plus de quatorze ans, une femme a caché le fait qu’elle était mère.
L’avertissement a été émis par des professionnels de la santé qui n’ont découvert aucune preuve légale de l’existence de l’adolescent après que sa mère l’ait précipité aux urgences avec un mal de ventre. Une énigme qui n’a pas encore été résolue. Les autorités de Rennes, en Ille-et-Vilaine, ont découvert qu’une femme de 48 ans avait nié l’existence de son fils de 14 ans.
En juillet 2022, la mère a emmené son fils malade aux urgences, affirmant qu’il avait une maladie mystérieuse. Le personnel médical a rapidement vu que quelque chose n’allait pas. L’adolescent ne pesait que 25 kilogrammes, présentait des signes de retard intellectuel et avait du mal à s’exprimer.En conséquence, le personnel médical a décidé de le remettre à l’UAPED (Unité d’adoption des patients pédiatriques en situation d’urgence) qui a déposé une plainte au pénal.
LE PREMIER EN LIGNE POUR UNE VUE
La préfecture de police de Rennes a contacté la mère lundi 15 mai et l’a placée en garde à vue. Elle devra répondre de ses actes devant un tribunal correctionnel. Si elle l’a élevé à la maison et ne l’a jamais emmené chez le médecin pour quelque chose de grave, alors elle n’a aucune raison de s’inquiéter. Un pédiatre de l’Ouest de la France spécialisé dans les enfants à risque a déclaré : “C’est difficile mais pas impossible”.