Brian Jones Cause De Sa Mort – C’est comme si on remontait quarante ans dans le temps, et l’ambiance est bien moins crapuleuse qu’aux derniers jours de Michael Jackson, tout ça parce que la police du comté de Sussex s’est de nouveau intéressée à l’affaire. Drôle de parallèle avec “Bambi” cette fois-ci : A.A. Milne, auteur de « Winnie l’ourson », vivait autrefois dans la maison qui appartient maintenant à Brian Jones, Cotchford Farm. Pour partager un article, cliquez simplement sur les boutons de médias sociaux correspondants en haut à droite de la page de l’article.
En tant qu’abonné, vous pouvez utiliser la fonctionnalité “Offrir un article” pour envoyer à l’un de vos proches jusqu’à cinq articles chaque mois. La mort du légendaire guitariste des Rolling Stones Brian Jones en 1969 par noyade dans sa piscine a d’abord été qualifiée d’accident, mais la police britannique a annoncé le 31 août qu’elle rouvrirait l’enquête sur la mort de Jones. Jones avait 27 ans à l’époque. Cependant, des rumeurs de meurtre ont persisté.
La police du Sussex (sud de l’Angleterre) a déclaré que les enquêteurs vont enquêter sur 600 documents envoyés par le “journaliste d’investigation” Scott Jones (aucun lien avec le musicien). Brian Jones a aidé à nommer le groupe qui deviendrait connu sous le nom de Rolling Stones. Au fil du temps, Mick Jagger et l’autre guitariste, Keith Richards, ont éclipsé son statut au sein du groupe. Brian Jones avait quitté le groupe un mois avant sa mort en raison de sa dépendance à la drogue et à l’alcool. – (AFP.)
Le 3 juillet 1969, Brian Jones rejoint les rangs du club tragique des 27, qui comprend notamment Kurt Cobain, Jimi Hendrix et Amy Winehouse. Après avoir été éclipsé par Mick Jagger et Keith Richards, le premier leader des Rolling Stones est décédé il y a 50 ans. En tant que multi-instrumentiste, il a ajouté du xylophone, de la batterie et même de l’harmonica à des chansons comme “Paint It Black”, “Out of Time” et “Lady Jane”.
Un mois avant sa mort, il avait quitté les Rolling Stones à cause de divergences artistiques. À tout le moins, c’est la version canonique. En réalité, le musicien a été expulsé parce que ses collègues membres du groupe n’approuvaient pas ses fréquentes diatribes et arrestations ou sa préférence (très) ouverte pour l’alcool et les drogues comme le LSD.
En ce jour fatidique du 3 juillet, le guitariste se trouve au manoir de Sussex qu’il a récemment acheté aux A.A. Milne, l’homme responsable de la création de Winnie l’ourson et du reste du gang. Il passe la soirée à bavarder avec son amie infirmière Janet Lawson, sa petite amie Anna Wohlin et l’homme d’affaires chargé de rénover sa propriété, Frank Thorogood.
Les vapeurs d’alcool les ont atteints et les deux hommes se battent maintenant dans la piscine. Anna Wohlin est actuellement à l’étage. Brian Jones, qui semble avoir une crise d’asthme, demande à son amie infirmière, Janet Lawson, de lui procurer un inhalateur. A son retour, elle découvre le corps de Mick Jagger dans la piscine et la mine démolie de Frank Thorogood.
Anna Wohlin, alarmée par les cris, court se mettre à l’abri à l’extérieur; Janet Lawson commence le massage cardiaque ; mais c’est trop tard; Brian Jones est mort. Les résultats de l’autopsie indiquent un “accident mortel”. C’était un bon marin, mais il souffrait d’asthme et il fumait des barbituriques et d’autres drogues avec ses doigts. “Je dirais que c’était plus un demi-accident qu’un meurtre délibéré ou un assassinat”, a confirmé Keith Richards. Mort par suicide ou meurtre ?
Les soupçons se concentrent sur Frank Thorogood puisqu’il a été la dernière personne à avoir vu le musicien vivant. Même son téléphone portable fonctionne, car il lui a été donné par le créateur des Rolling Stones, Mick Jagger, quelques heures seulement avant son décès.
Avec de nouvelles preuves à leur disposition, la police britannique revient sur la mort noyade du membre fondateur des Rolling Stones en 1969. Où le deuil et la drogue ne seraient pas les seuls responsables…Les vrais héros ne meurent jamais. Il n’y a pas eu de mort naturelle, en tout cas.
Regarde Michael Jackson, veux-tu ? Prenons le cas de Jimi Hendrix qui, selon les allégations non prouvées d’un ancien roadie, n’a pas été mort étouffé dans son propre vomi mais plutôt assassiné par sa direction (Libération, 3 juin). Et regardez tous les autres, de Jim Morrison à Janis Joplin en passant par Kurt Cobain, dont la mort est encore entourée de mystère.
Les vrais héros ne meurent jamais. Il n’y a pas eu de mort naturelle, en tout cas. Regarde Michael Jackson, veux-tu ? Prenons le cas de Jimi Hendrix qui, selon les allégations non prouvées d’un ancien roadie, n’a pas été mort étouffé dans son propre vomi mais plutôt assassiné par sa direction (Libération, 3 juin). Et regardez tous les autres, de Jim Morrison à Janis Joplin en passant par Kurt Cobain, dont la mort est encore entourée de mystère.
L’affaire Brian Jones, membre fondateur des Rolling Stones en 1962, est de retour au sommet de la pile aujourd’hui. Vingt-cinq ans après la mort de la victime, la police britannique a désormais accepté de se pencher sur des centaines de documents réunis par le journaliste Scott Jones (aucun rapport avec l’autre) qui, selon lui, font état d’un homicide. Sans rouvrir formellement l’enquête, les enquêteurs vont suivre les pistes d’une théorie qui circule depuis plus de quinze ans : que le multi-instrumentiste du “plus grand groupe de rock hectares de campagne anglaise pittoresque dans la ville de Hartfield, située dans le comté de Sussex.
Maracas. Officiellement, Brian Jones s’est noyé dans sa piscine le 3 juillet 1969. La consommation excessive d’alcool et de drogues illégales de la beauté de 27 ans rendait peu probable qu’elle se lance un jour dans le naturisme. Bref, c’est un tragique accident qui a mis fin à la trajectoire d’une étoile filante.
Le jeune homme s’était fait un nom à Londres en interprétant note à note les solos d’Elmore James et de Robert Johnson. Il venait de finir de jouer Sympathy for the Devil sur les maracas avec un regard vide sur le visage avant d’être expulsé des Stones pour absence chronique.
Fin tragique, commémorée deux jours plus tard à Hyde Park avec un énorme concert gratuit des membres restants du groupe, plus Mick Taylor. Mick Jagger, tout de blanc vêtu mais semblant un peu perdu dans son entourage, était sorti dans la foule pour rendre un dernier hommage au défunt membre du groupe qui avait été condamné pour usage de drogue. Il ne meurt pas, ni ne se repose. Il s’était réveillé de son rêve éveillé. Il n’est pas mort et il ne dort pas ; au contraire, il s’est réveillé du rêve qui était sa vie.
Mais la vie continua comme d’habitude, jusqu’à ce qu’en 1994 deux livres publiés par Geoffrey Giuliano et Terry Rawlings, respectivement intitulés Paint it black : The Murder of Brian Jones et Who Killed Christopher Robin, bousculent la théorie selon laquelle ni un complot ni un assassinat n’avaient pris lieu. La source : en novembre 1993, juste avant sa mort, l’homme d’affaires Frank Thorogood aurait avoué avoir tué un roadie des Stones et confident de confiance de Jones nommé Tom Keylock. Lequel est décédé en juillet et n’est plus disponible pour commenter.
Cependant, Keylock a révélé qu’il y avait de sérieux conflits entre le musicien et Frank Thorogood à sa jeune amie de l’époque, Janet Lawson, qui travaillait pour Brian Jones. Janet elle-même, qui était présente le soir du drame, a dit à Scott Jones, l’homme par qui l’affaire a refait surface, l’année dernière qu’elle avait vu Frank Thorogood sauter dans la piscine et “faire quelque chose à Brian”. Rien à voir ici; Janet Lawson est également décédée au cours de la dernière année civile.
Cela soulève de nombreuses questions et dissipe peu d’assurances. Selon les derniers chapitres, au moins trois personnes étaient présentes la nuit de la mort de Brian : une femme nommée Janet Lawson, un homme d’affaires nommé Frank Thorogood et une jeune amie des Stones nommée Anna Wohlin. En 2001, elle a utilisé son propre livre, The Murder of Brian Jones, pour étayer la théorie de l’assassinat. Cela aussi vend beaucoup de livres.
Enfin, les dossiers de police obtenus par le Daily Mail indiquent que l’ancienne coéquipière de Thorogood, Joan Fitzsimons, a été brutalement assassinée trois semaines après la mort de Brian Jones, prétendument parce qu’elle était sur le point de parler aux médias.
Acide. Personne dans le groupe des Stones n’a jamais adhéré à la théorie selon laquelle leur ami avait été assassiné ; ils ont toujours pensé qu’il était tout simplement trop déprimé à l’époque pour avoir agi seul. Le médecin et ancien marin Keith Richards a déclaré: “C’était un bon nageur, mais il était asthmatique et bourré de barbituriques, entre autres choses de vente qu’il avalait par poignées.”
Comparé à d’autres “trucs de vente”, le LSD s’est démarqué. En fait, la légende raconte que c’est Brian Jones qui a initié Jimi Hendrix à l’acide lors d’un vol transatlantique en 1967 (du “purple owsley” selon le regretté bassiste Noel Redding). Au plus fort de leur évolution, Jones et Hendrix avaient des trajectoires étonnamment similaires, puisqu’ils périrent tous les deux à 27 ans (Hendrix un an plus tard, en septembre 1970) dans ce que nous appellerions aujourd’hui des accidents meurtriers.