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Marylise Léon Famille
Marylise Léon Famille

Marylise Léon Famille – Marylise Léon est peut-être née à Man, mais elle est de souche solidement bretonne. En effet, ses deux parents sont d’origine finistérienne. Son grand-père Guillaume Léon a été adjoint au maire de la ville de 1977 à 1989. Son père étant gestionnaire des transports en commun, la famille a beaucoup déménagé. Cependant, Marylise Léon se rend souvent dans le Finistère avec sa famille pendant les vacances.

Sophie Binet, née à Metz, a également des liens familiaux avec la région. Sa première formation à l’armement a eu lieu dans sa ville natale de Nantes. Alors qu’elle était à l’école de philosophie, elle a été active dans des organisations étudiantes dont le syndicat étudiant de l’Unef. Lors de la mobilisation de 2006 contre le CPE (contrat primo-employé), elle était aussi bien présente à Brest.

Jean-Philippe Barrière, ex-directeur de cabinet à l’UBO (Université de Bretagne occidentale), également membre de l’Unef à l’époque, a rappelé comment Sophie Binet était leur “suivi”, leur référence nationale du bureau de chargé d’être le passeur de transmission entre le syndicat local et l’organisme national.

Marylise Léon est une syndicaliste française née le 23 novembre 1976 dans la ville du Mans. Elle est née dans une famille aux racines bretonnes. Le travail de son père en tant que gestionnaire des systèmes de transport public a nécessité de nombreux déménagements, elle a donc passé une grande partie de son enfance à vivre dans différentes villes. Elle fait ses études primaires au Mans avant de poursuivre ses études à l’Université d’Anger puis à l’Université de Créteil. Elle termine ses études avancées en chimie et obtient une maîtrise.

Marylise Léon débute sa carrière comme responsable de la sécurité environnementale dans un cabinet de conseil. Après l’explosion de l’usine AZF en 2001, elle a commencé à former des militants pour lutter contre les dangers technologiques. Elle est revenue à la Fédération Chimie Energie après une absence de neuf ans. Elle est membre de la CFDT et a été nommée secrétaire nationale aux questions industrielles en 2014. Elle est nommée secrétaire générale adjointe en 2018, et elle est réélue au même poste en 2022.

De même, Maryliss Léon est franc dans son soutien aux droits des femmes, prenant la parole en faveur de l’égalité et de la sécurité des femmes. En avril 2023, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a annoncé sa démission imminente. Il en profite pour annoncer à la presse qu’il a proposé Marylise Léon comme sa remplaçante au niveau national, et qu’elle prendra ses fonctions le 21 juin.

Marylise Léon est une Britannique d’origine née dans la ville du Mans, capitale de la Sarthe. Ses deux parents ont de profondes racines dans le Finistère. Le père de Jean-Jacques Léon, Jean-Jacques Léon, est le maire de L’Hôpital-Camfrout, une petite ville à quelques kilomètres au sud de Landerneau. Son grand-père, Guillaume Léon, a été adjoint au maire de la ville de 1977 à 1989. Son père étant gestionnaire des transports en commun, la famille a beaucoup déménagé.

Marylissa Leon a fait ses études dans la Sarthe en France. Son lycée était au Mans. Après cela, elle a décidé de changer de département pour ses études supérieures. Il devrait prendre la direction du sud vers Angers (Maine-et-Loire) pour y faire ses études collégiales, puis vers le Val-de-Marne et l’Université de Créteil. Elle en sortira diplômée d’un DESS (Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées) de chimie.

Après avoir terminé ses études, elle a occupé le poste de responsable de la sécurité environnementale dans différentes entreprises, puis a passé trois ans dans une société de conseil spécialisée dans la prévention de la pollution liée à l’exploitation des incinérateurs. Elle intègre la CFDT de Chimie en tant que technicienne en 2003. Un recrutement initié à la suite de l’explosion de l’usine AZF le 21 septembre 2001 à Toulouse. Elle y était experte en risques industriels.

Selon un article paru en 2014 dans L’Usine nouvelle, elle est depuis longtemps en charge de la gestion des risques industriels majeurs et de la prévention des maladies professionnelles.Une Finistérienne d’origine a été élue au poste de secrétaire nationale en charge des questions industrielles au sein du comité exécutif de la CFDT lors de leur convention 2014 à Marseille. Elle avait le taux d’approbation le plus élevé (99,17%) parmi les 10 membres de la commission exécutive. Maryliss Léon avait alors 37 ans.

Marylise Léon a été élue au poste de secrétaire générale adjointe de la CFDT lors de leur convention 2018. Au début de son mandat, sa principale responsabilité était de mettre en œuvre la vaste réforme de l’assurance-chômage, entrée en vigueur le 1er février malgré les efforts des groupes syndicaux pour l’arrêter en prenant le contrôle du Conseil d’État. Marylise Léon était également en charge des relations patronales-syndicales.

Lors des discussions sur l’assurance-chômage, elle s’est battue.

A partir de mercredi 21 juin prochain, Marylise Léon sera la nouvelle secrétaire générale de la CFDT. Née à Man, ses parents sont originaires du Finistère breton. Elle est aujourd’hui à la tête du syndicat le plus important de France.Le 21 juin marque non seulement le passage du printemps à l’été, mais aussi une nouvelle équipe dirigeante pour la Confédération française démocratique du travail (CFDT). Marylise Léon, membre n°2 du syndicat, remplace Laurent Berger en tant que n°1.

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A 46 ans, elle devient la dirigeante du syndicat le plus populaire de France. Elle est issue d’une souche financière et est née au Mans, dans la Sarthe. Ses parents britanniques sont Jacqueline et Jean-Jacques Léon. “Ma femme est de Landerneau et je suis de l’Hôpital Camfrout”, explique Jean-Jacques Léon, qui a passé ces quatre dernières années à la tête de la compagnie maritime Penn Ar Bed.

Même si elle n’y est pas née, Marylise Léon n’en est pas moins “très attachée à la Bretagne”, selon son père. Avant de venir passer ses vacances en Bretagne. Même si elle réside actuellement à Paris, elle s’y rend encore de temps en temps. Jean-Jacques Léon, un habitant et maire de l’Hôpital Camfrout, une petite ville à 25 kilomètres au sud de Brest dans le Finistère, déclare : « C’est important d’avoir ses racines.

La nomination de sa fille est une “fierté” pour le père après plus de 20 ans de syndicalisme. En 2018, lors de la conférence de Rennes, on sentait que ce jour viendrait. Par conséquent, Marilyse a été promue au poste de secrétaire générale adjointe du syndicat dans sa chère région de Bretagne.
Marylise Léon, chimiste de formation, a rejoint la CFDT au début des années 2000 et a gravi les échelons pour devenir secrétaire générale adjointe de l’association en 2018. Au 21 juin, elle dirige un groupe de plus de 600 000 adhérents.

M. Léon précise : « Sa formation scientifique devrait aider à l’analyse de cas, mais elle ne se limite pas au côté technique, ayant réussi à s’imposer d’un point de vue relationnel également. Des compétences qu’elle a mises à profit, par exemple, pour négocier de meilleures conditions de travail et des allocations de chômage.

Comme Sophie Binet, élue en mars à la tête de la CGT, la nouvelle dirigeante CFDT est présente en Bretagne. Ce dernier connaît aussi très bien le Finistère. Elle a été membre de l’Union Nationale des Etudiants de France (Unef) et a participé en 2006 aux manifestations étudiantes de Brest contre le CPE (Contrat Première Embauche).

De l’obscurité à la lumière. Maryliss Léon prendra officiellement la tête de la CFDT mercredi 19 juin, succédant à Laurent Berger, leader du syndicat réformiste de ces dix dernières années. Après Nicole Notat, qui a dirigé la Confédération de 1992 à 2002, Marylise Léon, née le 23 novembre 1976 au Mans, deviendra la deuxième femme à occuper le poste de présidente.

Elle en est la secrétaire générale adjointe depuis 2018, période pendant laquelle elle a supervisé des dossiers cruciaux comme l’assurance-chômage et les relations syndicales. Elle a pris la parole au nom de la CFDT au sein du Pacte du pouvoir de vivre, une alliance de plus de soixante groupes œuvrant pour l’harmonie environnementale et sociale.

Elle représente la continuité dans la lignée avec Laurent Berger, qui affirme s’être mis d’accord avec elle depuis au moins un an et demi pour qu’elle lui transmette le témoin en juin 2023. Elle est prête. Elle a eu le temps de constituer ses équipes, qui sont, pour la plupart, les mêmes. Elle a une belle présence autour de la maison et un niveau de style et de grâce exceptionnel. “C’est un mec bien, avec beaucoup de personnalité, et il ne va pas se laisser bâcler tous les matins”, s’extasie Laurent Berger auprès de l’AFP.

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